"Un Homme Qui Dort" La Grande Melee

Played outside in Temple de Diane in Nimes

 
 - Création

THÉÂTRE

Une chambre imaginaire dans le Temple de Diane. Traversée visuelle et sonore d’un monde fantasmagorique, Bruno Geslin fait l’éloge du vertige.
Bruno Geslin - Compagnie La Grande Mêlée
D'après le roman éponyme de Georges Perec
Adaptation, conception et mise en scène Bruno Geslin
Avec
Vincent Courtois violoncelle
Nicolas Fayol interprète
Composition musique Vincent Courtois
Création et régie lumière Laurent BénardRégie compagnie Emmanuelle Hertmann
Création son Teddy DegouysRégie son Tal Agam
Création et régie vidéo Quentin Vigier
Images Bruno Geslin et Nicolas Fayol
Scénographie Bruno Geslin et Jean-Paul Zurcher
Construction et régie plateau Jean-Paul ZurcherRégie générale Denis Melchers
 
Coproduction Cie La Grande Mêlée / Théâtre de Nîmes – scène conventionnée pour la danse contemporaine / Théâtre des 13 Vents – CDN Montpellier / Scènes croisées de Lozère.
Avec le soutien de la DRAC, de la Région Languedoc-Roussillon et du département du Gard.
Mercredi 24jeudi 25vendredi 26samedi 27 septembre 2014 à 21h
Jeudi 25vendredi 26samedi 27 septembre 2014 à 06h - Temple de Diane
Tarif III [+] - Durée 1h
 
 

Une proposition exceptionnelle : à l’aube ou au crépuscule, Bruno Geslin nous convie dans le Temple de Diane. À la suite de Georges Perec, il y invente une chambre imaginaire, installant une immense cage métallique dans un dispositif bi-frontal avec une proximité scène-salle efficace. Loin des formes de représentation traditionnelle, il plonge le public dans une dérive mentale fascinante, entre insomnie et rêves éveillés.
Sous l’impulsion d’un violoncelliste, en quelques mots et de magnifiques séquences vidéos, on suit un jeune homme tout au long d’une traversée de sensations inhabituelles. Refusant de se plier au diktat du monde social, il se détache progressivement du réel.
La chambre prend une dimension fantasmagorique jusqu’à ce qu’il retrouve la force de vivre.
Danseur à la présence magnétique, Nicolas Fayol en fait son refuge. Les lois de l’apesanteur se dérèglent, le cours du temps dérive, la vie s’emballe.

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